Le mot de la Présidente
“Il y a 20 ans, 2 professeurs d’EPS se sont lancés dans l’aventure PB18. Un club de quartier qui a su grandir petit à petit pour avoir des fondations solides et devenir un acteur incontournable dans le domaine éducatif et du sport féminin. Il a fallu beaucoup d’énergie, de patience et de persévérance pour convaincre les pouvoirs publics et les partenaires de soutenir le sport féminin, qui n’intéressait que très peu de monde à l’époque.
Au-delà du développement du sport féminin, le projet du PB18 a toujours été d’accompagner les jeunes dans leur scolarité en favorisant leur insertion sociale. Cet objectif double qu’est la réussite scolaire et sportive des jeunes, reste le moteur de nos différents projets.
Chaque année, le PB18 permet à plus de 3500 jeunes à partir de 8 ans de s’initier au sport et plus particulièrement au basket tout en véhiculant les valeurs qui nous tiennent à cœur de respect des autres, exemplarité et dépassement de soi. A quelques mois des JOP 2024, nous souhaitons poursuivre nos programmes et en développer de nouveaux grâce à l’expérience acquise et aux réseaux tissés depuis toutes ces années.
La situation sanitaire actuelle demande quelques aménagements depuis plusieurs mois, mais nous avons poursuivi le maximum d’actions afin de maintenir le contact avec nos jeunes et de les soutenir le plus possible durant cette période où les difficultés sont accrues.
Bien entendu, sans nos partenaires et nos bénévoles, nous ne serions pas là où nous en sommes aujourd’hui. Je tiens donc à les remercier pour leur fidélité et l’aide précieuse qu’ils nous réitèrent chaque année et ce même dans les périodes difficiles comme c’est actuellement le cas.
Toute mon équipe est mobilisée pour nos jeunes et travaille pour développer des programmes alternatifs afin de respecter les règles sanitaires exceptionnelles. Si vous êtes bénévole, coach ou partenaire et que nos missions et nos valeurs vous parlent, n’hésitez pas à nous contacter afin de participer avec nous à la suite de cette belle histoire.”
Cyriane KELLER-MAKOUNDOU